Mick Jones - paroles

Mick Jones - paroles

Mick Jones
Mick Jones

Mick Jones est né Michael Geoffrey Jones le 26 juin 1955 à Brixton. En 1975 il monte son premier groupe les London SS avec avec Tony James (Generation X), mais également Brian James et Rat Scabies futur The Damned. Un an plus tard, en 1976, il fonde  The Clash en compagnie de Joe Strummer, un monument du punk rock qui en quelques années marquera d'une pierre angulaire l'histoire du rock britannique.

Mick Jones : quelques paroles...

"Joe disait la vérité et c’est important. Les gens sont manifestement sensibles à ça". (2005)

"Joe nous a beaucoup appris, tous autant que nous sommes. Mais la leçon la plus importante, et nous en avions conscience, c’était la façon dont il faut se comporter avec les gens. Il aimait les gens. Et j’ai bien plus d’un exemple pour vous en convaincre. Il était tout le temps comme ça. (2005)"

"Le reggae était l’autre musique que les Punks écoutaient. Il n’y avait pas assez de bons disques de Punk, alors les Dj avaient pris l’habitude de compléter leurs sets avec ce qui se passait sur la scène reggae. Don Letts, qui jouerait plus tard avec moi dans Big Audio Dynamite, était l’un des plus connus. Il faisait toujours découvrir aux gens plein de nouveaux disques de Jamaïque. Et à Brixton, où nous avons grandi, il y avait déjà le bluebeat et le ska, et on avait tous grandi avec cette musique dans les oreilles. Comme les Stones, qui à leurs débuts faisaient des reprises des tubes de R&B du moment, les Clash ont fait Police And Thieves. C’était le tube de cet été là. C’est comme ça qu’on s’est retrouvés à le faire. On n’essayait pas de faire du « vrai » reggae, on voulait juste en faire à notre sauce, avec nos racines. Ça sonnait différemment. Rien à voir avec Police et son reggae mou". (1995)

"The Clash est mon album préféré". (1977)

"Toute cette histoire à propos des fans qui viennent nous voir à l’hôtel ou qui passent dans les loges est très importante pour nous. On a une responsabilité envers nos fans, pas seulement parce qu’on veut garder le contact avec eux, mais aussi parce qu’ils ne nous sont pas indifférents. Je pense que nous sommes le groupe qui se préoccupe le plus de ses fans dans ce pays. On ne veut pas vivre leurs rêves à leur place, mais plutôt leur prouver qu’ils peuvent eux-mêmes les vivre". (1978)

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