mercredi 29 juin 2016

Dancing Hoods

The Dancing Hoods

The Dancing Hoods


The Dancing Hoods
The Dancing Hoods

Il y a des jours comme ça où on part à la recherche, sans vraiment savoir ce que l'on cherche. C'est un peu le truc du fouineur, le hobby du brocanteur, ou la caverne aux trésors de mon petit cœur de rocker (Julien Clerc, sort de ce corps). Et c'est avec cet esprit conquérant que j'ai redécouvert dans mes archives une petite pépite de Pop Rock américain qui m'a ramené quelques années en arrière. 
The Dancing Hoods font partis de ces groupes à qui il a sans doute manqué le petit truc en plus pour vraiment décoller.
Le band s'est formé à New York au début des années 80' autour de Bob Bortnick chant-guitare, Mark Linkous chant-guitare (futur leader des Sparklehorse, il mettra fin à ses jours en 2010), Eric Williams Bassiste et Don Shurt à la Batterie.

Un premier album 12 jealous roses sort en 1985, distillant un son généreusement Pop Rock avec des mélodies accrocheuses s'envolant au son lumineux des rickenbaker et d'une voix suave et limpide comme l'atteste ce titre qui aurait pu être un tube : Built a house.

The Dancing Hoods - Built a house - LP : Twelve Jealous Roses - 1985


1988 : le deuxième album des Dancing Hoods intitulé Halleluja Anyway emmènera le groupe au portes du succès, sans jamais véritablement les franchir. Ils attirent alors les fans des Replacements ou des Del Fuegos, connaissent une petite renommée sur les influentes College Radio et  la vidéo live de Baby's got Rockets sera diffusé au MTV's 120 minutes.

The Dancing Hoods : Baby's Got Rockets - LP Halleluja Anyway - 1988

Le groupe à la recherche d'une plus grande reconnaissance migrera à Los Angeles recherchant la signature sur une Major Compagny qu'ils ne trouveront jamais. Pérégrinations laborieuses et déceptions auront finalement raison de leur rêve, puisque le groupe se sépare à la fin des années 80'.
Il reste cependant quelques magnifiques empreintes des Dancing Hoods : à découvrir ou à redécouvrir !

Dancing Hoods on 120 minutes Show on MTV 


samedi 25 juin 2016

The Hoodoo Gurus

Hoodoo Gurus

The Hoodoo Gurus

Hoodoo Gurus sont nés en 1981 à Sydney

L' Australie est une terre lointaine qui semble détenir l'alchimie de la longévité de ses artistes rock, du moins d'un certain nombre. Parmi ceux dont nous parlions précédemment, il y a Paul Kelly, The Church, Chris Bailey et les Saints, INXS, AC/DC (à moitié australien), et un peu moins connus en Europe, mais cependant très intéressants: Hoodoo Gurus.
The Hoodoo Gurus
 Hoodoo Gurus
Hoodoo Gurus sont nés en 1981 à Sydney autour de la personnalité du chanteur, guitariste et compositeur  Dave Faulkner. Le groupe fait ses débuts dans un esprit post punk garage avec une formation proprement atypique, puisqu'ils  démarrent sans bassiste, mais avec trois guitaristes et un batteur... original !
Mais les débuts sont instables, tâtonnants, et la formation finira par se stabiliser et s'ancrer dans un style plus Pop Rock avec l'arrivée de Richard Crossman à la basse (enfin ...), Mark Kingsmill à la batterie, Brad Shepherd à la guitare, Faulkner demeurant leader, chanteur et guitariste.

Hoodoo Gurus : What's my scene? - Blow Your Cool - 1987



Sept albums studios vont être produits de 1984 à 1996, avec un coup de cœur personnel pour l'album Blow Your Cool en 1984. La production est confiée à Mark Opitz, qui avait travaillé précédemment avec INXS et AC/DC, les chœurs sur deux titres sont réalisés par les Bangles, et le titre What's my scene? se classe numéro trois dans les Charts australiens et 120 ième aux States au Billboard 200.  
Hoodoo Gurus ont connu à la fin des années 80' un véritable succès dans les campus américains où ils ont donné un grand nombre de concerts, avec un son rock pop plus propice à l'air du temps.

Hoodoo Gurus : Come Any Time - Magnum Cum Louder - 1989 


En 1998, toujours en proie à cette même popularité australo-américaine, les Hoodoo Gurus fatigués des tournées décident de se séparer. Quelques années d'expériences musicales parfois solitaires, parfois communes leurs auront redonné l'envie, l'esprit et l' âme du groupe. En 2003, après un spectacle exceptionnel lors d'un festival à Sydney, éclairés par la magie de se retrouver ensemble sur scène dans une cohésion à nouveau pleine de fraîcheur, les 4 membres décident de reformer le Hoodoo Gurus Band. Il en découlera de nombreuses tournées, deux albums studios Mach Schau en 2004 et Purity of Essence en 2010, ainsi qu' une compilation en 2012 Golden Watch, 20 Goden Greats.
A découvrir, ou redécouvrir.... 


Hoodoo Gurus : Golden Watch, 20 Goden Greats.
Hoodoo Gurus : Golden Watch, 20 Goden Greats.

Albums studios : 

  • 1984: Stoneage Romeos
  • 1985: Mars Needs Guitars!
  • 1987: Blow Your Cool!
  • 1989: Magnum Cum Louder
  • 1991: Kinky
  • 1994: Crank
  • 1996: Blue Cave
  • 2004: Mach Schau
  • 2010: Purity of Essence


jeudi 23 juin 2016

Page White The Edge

Branchez les guitares

Jimmy Page, Jack White et The Edge : le doc !


It might Get Loud est une rencontre énorme filmée, organisée autour de 3 guitaristes légendaires dont les noms évoquent à tous l'excellence, la maîtrise de l'instrument et le talent de compositeur et d'interprète. Il y a Jimmy Page, la légende vivante de Led Zepplin, Jack White (ex White Stripes), et The Edge, guitariste de U2, expert de la rythmique, magicien des sonorités comme le montre admirativement ce doc'.

Jack White, The Edge, Jimmy Page
Jack White, The Edge, Jimmy Page
Derrière les Stars' du Rock que l'on connaît tous, ce film met en valeur le rapport passionnel des musiciens avec leurs instruments. Le londonien compare la guitare a une sculpture, l'irlandais brille dans sa recherche de la perfection sonore, et l'américain retourne à l'essentiel, nous montrant comment fabriquer une guitare avec une vieille planche, quelques clous, une bouteille de coca, un micro et un ampli... Ce mec en extrait un son Blues Rock en jouant sur une seule corde que bien des amateurs éclairés convoiteraient, bref c'est la claque !
Ce documentaire nous entraîne dans l'univers de ces trois guitaristes hors pairs et orchestre une rencontre, truffée d'anecdotes, de discussions passionnantes, de partage musical, pour ces trois guitaristes très différents les uns des autres, orfèvres et singuliers dans la maîtrise de leur art, et réunis enfin autour d'un bœuf inter galactique (euh, enfin je crois... moi en tout cas, j'étais perché tout la haut !) .
It might get loud : je suis retombé dessus hier soir au fil de mes pérégrinations nocturnes sur la toile. Quel moment divin et tellement inspirant... il ne me manquait que l'envie de partager ça avec vous !
Voilà, c'est fait  ;) 

It Might Get loud 



jeudi 16 juin 2016

Joe Strummer

Joe Strummer

Joe Strummer

Joe Strummer
Joe Strummer

Joe Strummer est le leader de l'un des plus grands groupes de l'histoire Punk : The Clash !
La découverte des Sex Pistols en 1976 sera pour lui une révélation, et c'est avec Mick Jones et Paul Simonon qu'il plaque tout pour fonder : The Clash !
Strummer connaîtra l'apogée des Clash jusqu'en 1985' où il quitte le groupe. On le retrouvera un temps auprès des Pogues, remplaçant Shane Mc Gowann puis avec son dernier groupe The Mescaleros, jusqu'à sa mort en 2002 des suites d'une maladie cardiaque.
Joe Strummer était un type assez incroyable, un leader charismatique pour toute une génération, soutenant des combats politiques, participants à des concerts anti fascistes, soutenant les réfugiés, les mineurs en grève, activiste dans ses combats...  Combat Rock est aussi le titre du 5ième album des Clash, à l'image de l'esprit de leur leader !
Énerve, tonique et rageur sur scène, il est pourtant décrit dans ce documentaire comme un homme très doux, d'une grande gentillesse... au diable les étiquettes...
Un très bon documentaire sous titré en français que j'avais très envie de partager !

Viva Joe Strummer : 1952 - 2002

mercredi 15 juin 2016

John Mellencamp

John Cougar Mellencamp

John Mellencamp

John Mellencamp
John Mellencamp

De Cougar à Mellencamp : The Lonesome Jubilee

John Mellencamp est de la trempe de ces artistes qui ont posé très tôt les bases d'une carrière solide et bien ancrée. La soixantaine passée, avec 23 albums studios à son actif, une carrière de peintre et d'acteur au cinéma et au théâtre, John continu de tourner pour le plus grand plaisir de ses admirateurs. 
John a commencé dans les années 70' à une époque où sa musique était déjà en décalage avec les courants de l'époque. Souvenez-vous, on l'appelait à l'époque John Cougar, surnom imposé par son manager Tony Defries, manager de David Bowie, mais également l'homme qui a lancé les carrière d' Iggy Pop et de Lou Reed.... Certes c'était évidemment difficile de s'opposer au grand Tony, mais heureusement pour lui, John a rapidement associé au patronyme Cougar son véritable nom de famille Mellencamp, pour le bazarder enfin en 1991 avec l'arrivée d'une petite bombe de rock américain : l'album When ever we wanted.
Soit dit en passant, compte tenu des associations argotiques de vieilles femmes séductrices associées au nom Cougar dans les années 2000, John a eu bon nez d'abandonner ce surnom de vieille star rock has been.

John Mellencamp : Jackie Brown - Big Daddy - 1989


Si la carrière de John Mellecamp a démarré dans les années 70', le succès s'est fait attendre une bonne dizaine d'année avant de pointer le bout de son nez. L'album American Fool - 1982 - marquera un premier pas décisif pour l'envol de sa carrière. Plus de 5 millions d'exemplaires vendus et les titres Hurt so Good et Jack and Diane respectivement numéros 2 et 1 aux USA !

John Mellencamp - Jack& Diane - American Fool - 1982 


La partie discographique qui reste le plus profondément gravée dans ma mémoire se situe plutôt à la fin des années 80' et jusqu'au début des années 90'.

John Mellencamp
John Mellencamp
Sur les 22  albums, mes préférences sont accordées sans conteste à Scarecrow - 1985 - Lonsesome Jubilee - 1987- le magnifique Big Daddy - 1989 - avec notamment le magnifique titre Jackie Brown, sans oublier When ever we wanted - 1991 - l'un des albums les plus rock de sa discographie dans lequel John nous propose une musique résolument moderne, tantôt pop Last Chance, tantôt agressive et musclée avec Love and happines, complètement détachée des influences traditionnelles et un brin country : le violon et l'accordéon sur un habillage rock sont largement troqués par l'électricité Rock'n'Roll des guitares acérées... j'adore.

John Mellecamp : Love and Happiness - When ever we wanted - 1991


John Mellecamp : Last Chance - When ever we wanted - 1991



L'une des particularités de John Mellencamp est son style un peu décalé, mi rocker, mi farmer, mi cow-boy, mi indien. Ses textes humanistes, toujours proches de la chronique sociale nous rappellent parfois l'univers de Bruce Springsteen, l'homme est par ailleurs largement connus pour ses engagements pour la cause écologiste, ses prises de positions politiques et son activisme. C'est pourtant un artiste qui a su dans l'ensemble rester relativement discret concernant sa vie privée et qui cultive depuis longtemps une certaine simplicité qui a l'avantage de laisser cette impression qu'il est proche de nous !

Dernier album en date: John Mellencamp Featuring Carlene Carter ‎– Sad Clowns & Hillbillies - 2017 - Republic records.

john-mellencamp

Congratulation :

Le 30 Juillet 2012 à San Jose,  Mellencamp a reçu le prix John Steinbeck, décerné aux personnes qui incarnent l'esprit de "l'empathie, l'engagement envers les valeurs démocratiques, et la croyance de Steinbeck dans la dignité de l'homme du commu".

Auguste Marshal

jeudi 9 juin 2016

The Smiths

The Smiths | Morissey, Johnny Marr & Co...

The Smiths
The Smiths

The Smiths: un groupe à part

Au début des années 80', The Smiths étaient un groupe un peu à part dans la mouvance de l'époque. Formés en 1982 autour de Johnny Marr et du chanteur, guitariste et personnage haut en couleur Morrissey, The Smiths s'imposent rapidement comme un groupe intemporel, malgré l'apparence faussement anodine de leur nom de scène... 
A la jonction de la fin de l'apogée du Punk et du début de la vague New Wave, les Smiths se sont intégrés dans un créneau de Pop Rock servi à la sauce guitare électrique, le tout lyriquement scandé par la voix particulière et tendrement monocorde de Morrissey. C'est un style vocal vraiment à part que l'on retrouve d'une certaine façon de l'autre côté de l'atlantique dans la manière de chanter de Michael Stipe de REM. Côté style, les Smiths très vite identifiés à la personnalité du chanteur et parolier Morrissey sont empreints de références littéraires et cinématographiques qu'ils n'hésitent pas à afficher dans leurs chansons ou interviews, dissimulés derrière un physique "premier de la classe" très british, ce qui ne les empêchent pas d'arborer des textes très provoc', parfois même subversifs... en parfait décalage avec le style musical : un délice !
the smiths
The Smiths
De 1982 à 87', les Smiths ont produit quatre albums studios, jusqu'en 2008 quelques compilations ont été publiées, deux albums concerts posthumes et à noter une version de l'album The Queen is dead repris par des groupes des années 90' et publiée par le journal Les Inrockuptibles
Le disque original y est estampillé du label "meilleur album des années 90", qualificatif autant mérité qu'exagéré, bien entendu il ne s'agît que d'une accroche publicitaire, mais qui révèle cependant l'indéniable aura des Smiths et du charismatique Morrissey.

The Smiths : The Queen is Dead
The Smiths : The Queen is Dead
Même si le groupe a effectué une très belle carrière, que bien des formations auraient aimé vivre, il est étonnant de voir à quel point ce band est encore présent dans l’inconscient collectif rock. The Smiths, c'est souvent tout ou rien: on aime ou on déteste... pour ma part, le choix est fait depuis longtemps.

The Smiths : Big Mouth strikes again -  1986


Régulièrement cités parmi les influences de Radiohead, Oasis, Placebo, Blur, Coldplay etc... Jeff Buckley reprenait régulièrement I Know Its' over de l'album The Queen is Dead - 1986.

I Know It's Over - Cover by Jeff Buckley

The Smiths - This Charrming man - LP : Rough Trade - 1984


samedi 4 juin 2016

The Temperance Movement

The Temperance Movement 

The Temperance Movement
The Temperance Movement

Focus sur The Temperance Movement : un jeune groupe actuel sévèrement rythmé. Enfin, lorsque je dis jeune, je parle de la création récente du groupe, car il s'agit en réalité de musiciens chevronnés ayant écumés déjà pas mal d'expériences musicales. Les 5 membres sont originaires de Londres et Glasgow, avec notamment un ex-guitariste de Ben's Brother, un ex-bassiste de Jamiroquai et un batteur ayant joué avec Ray Davis et The Waterboys... pardonnez du peu ! 

The Temperance Movement
The Temperance Movement

Après un démarrage timide en 2011, le groupe sort son 1er EP en 2012 : Pride, en auto production. Un premier LP en 2013 portant simplement le nom du groupe et en 2015, ce très bel album intitulé : White Bear.

The Temperance Movement - White Bear
The Temperance Movement - White Bear


11 titres aux accents rock musclés, au mélodies sauvages et accrocheuses, à l' énergie communicative. Un rock blues tirant vers des influences hard que la voix, tantôt suave tantôt aiguë et éraillée de Phil Campbell (rien à voir avec le guitariste de Motörhead), ne cesse de nous rappeler. L'album White Bear magnifiquement produit est une réussite, et les compos distillant des influences bien digérées puisées dans les quarante dernières années de rock'n'roll sur la planète nous donnent raison de croire que le genre rock n'est pas qu'une affaire de vieillerie, mais bien une actualité.

The Temperance Movement : White Bear





Pour ma part, je les ai découvert très récemment en première partie de la tournée des Insus... (Signalons qu'ils ont également fait précédemment la première partie des Rolling Stones... ) 
Merci aux groupes et aux producteurs qui osent encore programmer des premières parties. 

The Temperance Movement a allumé les flammes d'un public non convaincu d'avance, et c'est évidemment ce qu'il y a de plus dur à faire. Car en Live, c'est énergique, festif et dansant, tout comme l'est Phil Campbell ce chanteur monté sur ressorts et pourvu d'un organe vocal absolument remarquable, le tout au service d'un rock puissant, carré, et incisif. 
Une belle découverte pour moi et un album qui mérite le détour, et même plus encore ... 
The Temperance Movement est un band vraiment prometteur. A suivre !

Et en Live, voilà ce que ça donne :

The Temperance Movement - Midnight Black  - Live at Rock Werchter 2014





mercredi 1 juin 2016

Les Insus : Rock&Love !

Les Insus : Rock&Love !


Les insus
Les Insus
"La vie est trop courte pour être petite" - J.L Aubert
Je veux vous parler de l'arme de demain: du Rock et une bonne dose d'amour. Et vous, avez-vous eu la chance de les voir en Live, comme moi? Le sentiment de vivre quelque chose d'historique, le concert de la reformation de Téléphone sans leur bassiste originelle Corinne Marienneau  remplacée pour la tournée par Aleksander Angelov, d’où l'invention ce patronyme en forme clin d’œil: Les Insus (portables). 
Un magnifique moment d'énergie rock, de plaisir partagé, on les sent heureux d'être sur scène, gamin dans leur tête comme à l'époque, avec en plus cette maturité et cette maîtrise qui leur permet aujourd'hui d'envoyer de la puissance et de l'agressivité musicale, sans avoir besoin d'afficher le comportement adéquat. 
Et c'est ce que j'aime plus que tout chez eux, on les sent simple, proche de nous, amis, drôles et plein d'affection partagée: une cohésion amicale vibratoire qui vous donne le temps d'un soir l'impression d' être un peu de la famille de Jean Louis Aubert, Louis Bertignac et Richard Kolinka. Côté musique, c'est une patate incroyable, à la fois carré et libre à l'improvisation, et si les corps ont pris des rides et des cheveux blancs, les esprits sont restés lumineux: Téléphone est vraiment de retour !

Les Insus
Les Insus

 Toute génération confondue :

Le public intergénérationnel (une ado en face de moi et une mamie à  mes côté le poing levé... plutôt sympa comme image) était ce soir là parfaitement en phase avec cet esprit Rock&Love: on dansait où on pouvait, sur les gradins, sur les plateformes, on chantait, on hurlait et on était certainement nombreux à penser que cette communion entre un groupe et son public, c'est bien ça "l'arme de demain" !
Il faut dire qu'ils étaient attendus, les 200000 places de la tournée avaient été réservées en seulement 4 heures le 4 décembre 2015.
"Du jamais vu" selon le Co-producteur Gérard Drouot " ni pour ACDC, Bruce Springsteen ou même U2"
Les insus - Communiqué de Presse
Les insus - Communiqué de Presse

Un vrai moment de bonheur, déjà partagé par quelques Youtubeurs... à voir et à revoir !
31 mai 2016 à Dijon.

Les Insus : Un autre monde (extrait)

Les Insus : Un peu de ton amour


Les Insus : Crache ton venin